Chasing The Big Ones #19

Chasing The Big Ones #19 est un film gonzo américain composé de 5 scènes indépendantes, dans lesquelles des actrices blanches tournent avec des acteurs noirs fortement membrés (bis).

Olivia ouvre le bal avec un dénommé Jack Napier, particulièrement bien doté, pour une prestation en extérieur.

Une fois n'est pas coutume, la séquence démarre par une petite intro présentative de notre sujette. Elle dure 2 minutes 30. La reine Olivia excelle dans cet exercice et encore une fois, dans une alliance magique de charme et de volupté, elle nous allume comme il se doit.

Sous fond electro, gros plan sur l'arrière train de la Belle, couvert d'une mini jupe très mini et brillante. On change vite de cadre, là voilà qui arrive au loin et de face. Elle porte une légère petite nuisette noire sur le haut. Elle est terriblement sexy.

Large sourire et regard pétillant, elle se présente vite fait. Le réalisateur lui demande alors son age. La vilaine menteuse annonce 23, le ton légèrement interrogatif genre : ça passe ? La délicieuse créature rigole ... En réalité, à l'époque, elle a entre 33 et 34 ans ... Allez, OK, ça marche, on veut bien te croire ... .

La belle se tourne, ondule de la croupe, revient de face et descend légèrement sa nuisette. Elle se retourne à nouveau et retrousse sa jupe, la coquine n'a pas de culotte ...

Elle retire sa nuisette, se pelotte les seins, puis se met sur un transat pour s'exhiber sous toutes les coutures tout en se touchant. Elle finit allongée sur le dos, les cuisses largement ouvertes en train de se masturber ...

La caméra est toujours en mouvement, alternant les plans larges et rapprochés ... C'est très chaud ...

La Belle est prête ... Son amant du jour peut arriver ...

Jack Napier débarque et se met à hauteur d'Olivia, allongée sur le transat, délicieusement offerte et en train de se caresser, pour l'étreindre tendrement. Et oui sic ... Il embrasse la belle brésilienne et lui lèche gentiment les seins tout en la palpant avec douceur ...

Le voilà assis sur le transat, Olivia l'aide à défaire son short et n'en revient pas de ce qu'elle découvre ... Tous 2 rigolent beaucoup durant ce passage ... On sent de suite une grande complicité qui se noue entre les 2 partenaires, donnant à cette scène une ambiance particulièrement conviviale, qui ne se démentira pas tout au long de leur prestation.

Debout, ils s'embrassent à nouveau. La Dame de la Rivière caresse le sexe de Jack puis descend le visage à sa hauteur pour le prendre en bouche. Celui-ci prend vite une taille considérable. Accroupie puis à genoux, Olivia suce et lèche avec une grande avidité et tout son savoir faire l'énorme membre qu'elle tient le plus souvent à 2 mains ...

Bientôt, il est temps d'aller tester la chaleur de son intimité. Olivia couchée sur le transat, les cuisses entièrement ouvertes, se fait posséder dans la position du missionnaire. La belle gémit de suite ... Elle absorbe déjà complètement en elle le sexe de Jack... Elle est prise ensuite en position cow-girl de dos.

Sans transition, voilà Olivia à 4 pattes sur le transat. C'est parti pour le long passage anal et il va monter crescendo en ardeur ... C'est elle qui vient s'empaler sur le gros dard ... Jack, sans sortir de son anus, va ensuite s'allonger à son tour sur le transat, plaçant la belle sur lui en position cow-girl face à nous. Bien entendu elle ouvre ses cuisses au maximum. La sodomie devient de plus en plus vigoureuse et l'énorme sexe s'enfonce entièrement dans les entrailles de la Dame de la Rivière ...

Cette séquence est fort bien réalisée. On a un très bon rendu de par des prises de vues et un montage de qualité. On a une délicieuse Olivia, qui encore une fois est complètement dévouée à sa scène, prise dans des positions fort émoustillantes. Le petit plus, c'est cette complicité qui règne entre les 2 partenaires, donnant à cette scène un parfum de convivialité particulier fort apréciable. On atteint ainsi un bon niveau d'intensité qui ne ne se caractérise pas par de la brutalité mais par l'enthousiasme que mettent les 2 protagonistes dans leur prestation.

Cette scène est sans aucun doute une pièce majeure de la filmographie Olivienne ...